Stamboom van Hagenbeek

Hugues II de Beauvais

Vader: Hugo (de Grote) de France
Moeder: Eadhild van Engeland
  • Geboren: vermoedelijk 937 te Nogent-Le-Roi
  • Gedoopt: [[https://gw.geneanet.org/dupuisl?lang=nl&p=hugues+ii&n=de+beauvais]]
  • Overleden: in 1008 (ongeveer 71 jaar oud)

Précepteur (educator) puis conseiller et favori du Roi Robert II. Adminstrateur du Pays d'Yvelines. Comte de Nogent-l'Érambert (Nogent-le-Roi - 28) , Comte de Dreux (28) , Comte de Montfort , Seigneur d'Épernon (28)Comte de Beauvais (1er), Comte de Dreux, sgr de Nogent, Gouverneur de Paris (75), Châtelain de Saint-Léger

Het was inderdaad noodzakelijk dat Robert met zijn koninklijke autoriteit bescherming bood aan allen die het ongeluk hadden de koningin te mishagen: de dood van Hugues de Beauvais bewijst tot welk niveau Constance haar wraakzucht kon drijven.

Robert had zijn vertrouwen gegeven aan Hugues, zijn petekind, geboren uit het eerste huwelijk van Berthe van Bourgondië. Van deze zoon van zijn eerste echtgenote had hij zijn minister gemaakt, en een vriend aan wie hij zijn verdriet toevertrouwde. Hij had hem benoemd tot graaf van Beauvais en tot gouverneur van Parijs; de kerk van Orléans had hem aangesteld als voogd (degene die de wereldlijke belangen van een kerk behartigt); de koning omringde hem met zorg.
Constance haatte hem steeds meer; ze zocht verschillende manieren om van hem af te komen. Uiteindelijk schreef ze aan Foulques Nerra (Foulques de Zwarte), graaf van Anjou, wiens vele misdaden en boetedoening hem berucht hadden gemaakt.

Foulques liet deze kans om zijn durf te tonen niet voorbijgaan; hij antwoordde de koningin en liet haar weten, volgens de kroniek, dat ze “goede moed moest houden”, dat ze “binnenkort” wraak zou nemen op Hugues, en dat “niemand zo hoog kon stijgen in autoriteit dat men hem niet weer kon laten vallen”.

Men wist dat het hof een grote jachtpartij organiseerde; de Angevijnen, gehuld in hun harnassen en met gesloten vizier, gingen het bos in waar ze zeker waren hun gruwelijke missie te volbrengen. Toen ze oordeelden dat Robert en zijn vriend ver genoeg van hun gevolg verwijderd waren, kwamen ze met twaalf man uit de hinderlaag waarin ze zich hadden verscholen, groetten de koning met een diepe buiging, en voerden Hugues onder zijn ogen mee, die zich gegrepen en vastgehouden voelde zonder zich te kunnen verzetten.
Robert schreeuwde; hij wierp zich tussen de moordenaars en het slachtoffer; hij beval, hij smeekte; hij riep om medelijden, om religie; alles was tevergeefs. De moordenaars sloegen hun slachtoffer neer en verdwenen in de diepte van het bos, terwijl ze de koning achterlieten in uiterste afschuw en verbijstering.

Décédé en 1008 - Il fallait en effet que Robert protégeât de son autorité royale tous ceux qui avaient eu le malheur de déplaire à la reine : la mort de Hugues de Beauvais prouve à quel degré Constance savait pousser ses vengeances. Robert avait donné sa confiance à Hugues, son filleul, né du premier mariage de Berthe de Bourgogne. De ce fils de sa première épouse, il avait fait son ministre, et un ami dans le sein duquel il versait ses chagrina. Il l'avait fait comte de Beauvais et gouverneur de Paris ; l'église d'Orléans l'avait pris pour avoué (celui qui s'occupait des intérêts temporels d'une église) ; le roi l'entourait de soins. Constance le détestait de plus en plus ; elle chercha plusieurs moyens de s'en défaire ; enfin elle écrivit à Foulques-Nerra (Foulques-le-Noir), comte d'Anjou, que ses crimes multipliés et sa pénitence ont rendu fameux. Foulques n'eut garde de manquer une occasion de signaler son audace ; il répondit à la reine et lui manda, dit la chronique, qu'elle fît « bonne chière », que « dans brief dans peu » elle serait vengée de Hugues, et que « jà ne saurait être monté en si haute autorité que l'on ne l'en fît bien descendre ». On sut que la cour projetait une grande chasse ; les Angevins, chargés de leurs armures, la visière baissée, vont dans la forêt où ils sont assurés de remplir leur horrible mission ; lorsqu'ils jugent que Robert et son ami sont assez éloignés de leur suite, ils sortent au nombre de douze de l'embuscade où ils se tenaient cachés, passent devant le roi en lui faisant une profonde révérence, et sous ses yeux entraînent Hugues qui se sent saisir et arrêter sans pouvoir opposer de résistance. Robert s'écrie ; il se précipite entre les assassins et la victime ; il ordonne, il supplie ; il invoque la pitié, la religion ; tout est inutile ; les meurtriers frappent leur victime et disparaissent dans l'épaisseur de la forêt en laissant le roi au comble de l'horreur et de la stupéfaction. • Favori du roi Robert le Pieux,comte de Beauvais et de Dreux,seigneur de Nogent,gouverneur de Paris,peut-être châtelain de Saint Léger:
Favori du roi Robert le Pieux, gouverneur de Paris, peut-être châtelain de Saint Léger
Il fallait en effet que Robert protégeât de son autorité royale tous ceux qui avaient eu le malheur de déplaire à la reine : la mort de Hugues de Beauvais prouve à quel degré Constance savait pousser ses vengeances. Robert avait donné sa confiance à Hugues, son filleul, né du premier mariage de Berthe de Bourgogne. De ce fils de sa première épouse, il avait fait son ministre, et un ami dans le sein duquel il versait ses chagrina. Il l'avait fait comte de Beauvais et gouverneur de Paris ; l'église d'Orléans l'avait pris pour avoué (celui qui s'occupait des intérêts temporels d'une église) ; le roi l'entourait de soins.
Constance le détestait de plus en plus ; elle chercha plusieurs moyens de s'en défaire ; enfin elle écrivit à Foulques-Nerra (Foulques-le-Noir), comte d'Anjou, que ses crimes multipliés et sa pénitence ont rendu fameux. Foulques n'eut garde de manquer une occasion de signaler son audace ; il répondit à la reine et lui manda, dit la chronique, qu'elle fît « bonne chière », que « dans brief [dans peu] » elle serait vengée de Hugues, et que « jà ne saurait être monté en si haute autorité que l'on ne l'en fît bien descendre ».
On sut que la cour projetait une grande chasse ; les Angevins, chargés de leurs armures, la visière baissée, vont dans la forêt où ils sont assurés de remplir leur horrible mission ; lorsqu'ils jugent que Robert et son ami sont assez éloignés de leur suite, ils sortent au nombre de douze de l'embuscade où ils se tenaient cachés, passent devant le roi en lui faisant une profonde révérence, et sous ses yeux entraînent Hugues qui se sent saisir et arrêter sans pouvoir opposer de résistance. Robert s'écrie ; il se précipite entre les assassins et la victime ; il ordonne, il supplie ; il invoque la pitié, la religion ; tout est inutile ; les meurtriers frappent leur victime et disparaissent dans l'épaisseur de la forêt en laissant le roi au comble de l'horreur et de la stupéfaction.
Concernant le Château de saint-Léger dans les Yvelines : http://perso.orange.fr/saintleger/agenda/yvelines.desaintleger.htm Il est certain, cependant, que le premier tenant connu du château de St Léger en Yvelines est le comte palatin Hugues de Beauvais.
Note Boisdeffre2009/11 : dans les généalogies des comtes de Blois, ce personnage n'apparaît pas comme fils d'Eudes ou de quelque personnage de la famille. Eudes II est encore comte de Beauvais en 1015, date à laquelle par une charte il donne une part de son comté à l'évêque Roger, alors que le favori Hugues de Beauvais est assassiné en 1008.


Relaties:

Gehuwd met Bertha de Bourgogne (±955-1010)

Dossier:


Laatst gewijzigd: 15 augustus 2025
link: https://ngv-stambomen.nl/gdp/index.php/pers/get/5-93346 
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