Stamboom van Hagenbeek

Guy I de Chevreuse

Vader: Guerin II le Jeune de Chevreuse
Moeder: Elisabeth
  • Geboren: ± 950 te Chevreuse
  • Prévôt de Thibaud le tricheur
  • Overleden: in 992 (ongeveer 42 jaar oud) te Chevreuse

Il est le premier connu de cette famille qui compte ensuite une série de Milon entrecoupée de Guy.

Prévot du commte de Blois Thibaut "le tricheur)

Au XIe siècle, Guy Ier, seigneur de Chevreuse, commence l'édification d'un château fort qui domine le village, le château de la Madeleine. On lui doit sans doute le donjon construit de 1030 à 1090 qui, à l'époque, était entouré d'une palissade de bois. Les murailles n'apparaîtront qu'au XIIe siècle probablement vers 1146. Le village grossit. On y pratique la draperie, puis la tannerie. Le village sera par la suite protégé par une enceinte. Un autre seigneur de Chevreuse en 1304, sous Philippe le Bel, portait l'oriflamme à la bataille de Mons en Hainaut.

En France

Dans le vieux droit français, le mot prévôt a plusieurs sens et s’applique à plusieurs types de fonction. Étymologiquement (præpositus), il s’applique à toute personne placée à la tête d’une branche du service public, une position qui, selon les vieux principes, va de pair avec un droit de juridiction.

À partir du XIe siècle, les Capétiens retirent l'administration du domaine royal aux nobles pour la confier à des prévôts, généralement des roturiers aisés, qui possèdent le droit de percevoir les revenus du roi dans leur conscription ou prévôté. Cette pratique, bénéfique pour les finances royales, entraîne rapidement de graves abus et, dès la fin du XIIe siècle, le prévôt est contrôlé par un bailli dit « itinérant » ; puis, au XIIIe siècle, par un bailli et un sénéchal à poste fixe.

Le prévôt était au Moyen Âge l'intendant d'un domaine seigneurial et avait pour rôle d'administrer, de juger et de percevoir les taxes. Il était subordonné au bailli. Il était en outre chargé de gérer les biens et les revenus pour le compte d'un maître, d'un seigneur laïc, ou d'un ecclésiastique. Le prévôt encaisse les revenus et entretient les bâtiments, châteaux et hôtels royaux. Le prévôt est donc devenu progressivement le représentant du roi et de son pouvoir dans une fraction du domaine. L'ensemble des droits et revenus qu'il prélevait constituait le prévôté. Au XIVe siècle, les prévôts virent leur pouvoir judiciaire s'étendre pour représenter la juridiction de première instance, d'un point de vue civil comme criminel. Lorsque le roi concédait à une ville une charte de franchises ou de commune, il concédait également le prévôté, c'est-à-dire tous les revenus afférant à celui-ci, moyennant le versement d'une somme fixe. Les abus et plaintes des sujets se sont concentrées sur cet office, au point que la mise en garde des prévôtés devint une des revendications majeurs de l'opinion. Les prévôts de petite naissance sont mal vus par le peuple.

Les prévôts achètent une charge, c'est le système de l'affermage : l'État abandonne au prévôt la perception des divers impôts en vigueur dans le royaume, moyennant une somme d'argent. Mais ce système pose problème car de ce fait, ils sont difficiles à contrôler et à surveiller. Les prévôts en profitent pour ne plus respecter leurs obligations et font ce qu'ils veulent.

Concernant les finances, les prévôts se chargent de récolter les rentes, à savoir le cens, le champart qui est prélevé sur les récoltes plus les redevances tel que les revenus des péages (prélevés au niveau des ponts par exemple) ainsi les tonlieux sur les marchandises.

Relaties:

Relatie met onbenoemde persoon
Gehuwd met Cecile de Mauvoisin

Dossier:


Laatst gewijzigd: 11 januari 2025
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